SLY : Mes cocos en vous je vois mon caca et Giant coucou

JÂ’aime pas trop ces habits mais sur vous a va

Une odeur de cul, a cocotte mon majeur vous fait coucou

LÂ’affiche si je devais mÂ’habiller comme a.

Vous sortez de votre cocon , une invasion a  la cocoon

La rap-dance bizarre mais vous avez a dans la peau

Le pire cÂ’est que vous ates kiffas par les blanches coucounes

Le sport, la chanson vous ates forts en tout cÂ’en est trop.



SAMUEL : Ah, ouh, ha Â… ya ha ya ha

Ah, ouh, haÂ… ya ha ya ha

Plus de 400 ans dÂ’esclavage, a ne leur suffit pas et le rasultat

A lÂ’aube du nouveau millanaire ragne encore le mame climat

La violence nÂ’est plus physique , elle est morale et de surcroa®t

De jours en jours elle accroa®t, le peuple noir en est la proie

Vous nÂ’ates suparieurs en quoi que ce soit

Si oui en quoi, je crois vos esprits sont trop atroits

Car nous sommes quasiment tous similaires

Mais en perpatuelle guerre cela a  cause dÂ’une diffarence dÂ’apiderme



REFRAIN/SAMUEL : IL Y A DE QUOI SE FAIRE DU SOUCIS

QUANT AU DEVENIR DE LÂ’HOMME SUR LA

PLANETE, A COMMENCER PAR CE PAYS DANS

LEQUEL JE VIS, OU LÂ’ON CULTIVE LA

DIFFERENCE, LAISSANT LÂ’UNITE DANS LÂ’OUBLI.



VICELOW : Pourquoi atre lÂ’inspecteur Maigret ?

Pour savoir qui me vole qui mÂ’agresse

Ce sont toujours ces maghrabins

LÂ’aconomie de la France est maigre, " eh ben "

CÂ’est de la faute de ces bougnouls

Cet ata au camping jÂ’ai mis lÂ’grapin sur un dÂ’ces " oufs " quÂ’allait

Prendre mon grille-pain

On est barge hein ?

On en haberge un

Et cÂ’est toute la famille qui se ramane

Avec des moutons quÂ’ils agorgent

Un matin je voudrais me lever sans quÂ’il y ait tous ces boutons,

Histoire dÂ’atre seul ici

CÂ’est pour cela que je sollicite le national front

Pour nettoyer ce que salissent ces hystariques qui nÂ’ont pas mon teint

BLEU, BLANC, ROUGE , moi de mon temps , de mon temps

YÂ’avait moins dÂ’ Cheb Khaled et beaucoup plus dÂ’Yves Montand



LEEROY KESIAH : Alors toi tÂ’es con puis tÂ’es laid

Comme eux ceux quÂ’aiment pas les bicots, buttez-les

Tous illico foutez-les par terre puis tous piatinez-les ,

TÂ’fason lÂ’raciste cÂ’est lÂ’gars borna quÂ’aime pas Rachid,

Ca joue le fasciste mais crois-moi dans le fond a kiffe lÂ’huile dÂ’arachide

Et je parie quÂ’a  la racra cÂ’atait la mame ,a  lÂ’apoque de lÂ’hiver a  lÂ’ata ,la

Mame, tÂ’alertais le maa®tre pour tÂ’plaindre sans cesse de Kamel

Maintenant tÂ’appracies Khaled, mais quand on tÂ’ tappe tu scandes

A lÂ’aide, dasola mais jÂ’ai du mal a  croire quÂ’en fait Aa¯cha tu la

Trouvais pas laide

On sent lÂ’malaise das quÂ’tÂ’ouvres la bouche, yÂ’a quÂ’des conneries

Des foutaises, jette-toi dÂ’une falaise car quand tÂ’es la  chuis mal a  lÂ’aise

CÂ’est simple, cÂ’est simple, tu peux pas avoir le beurre, lÂ’argent du

Beurre, la beurette, sa bonne humeur et en plus quÂ’on tÂ’accueille

Avec un sourire balaise !



REFRAIN/SAMUEL



SPECTA : Les problames raciaux sont si denses que mon esprit suit un mauvais

Chemin et font que je suis raciste

Alors je nÂ’aime ni toi, ni tes femmes, ni tes gosses, gars ni que

Tu me kiffes

Ni que tu kiffes mon baret ta vu, vu

TÂ’as vu comment tu pues, quand tu cavales derriare moi, tÂ’as vu

Comment tu sues, 1001 nuits dans mes ve-ca, nÂ’y pense pas

Car tu sais , chez moi ils pensent tous comme a , a fait malÂ…

Un coup de pied dans la figure , jÂ’en sais quelque chose dans la police

Ils assurent, pour moi les blancs sont tous mauvais

Et cÂ’est toujours les mames qui paient.



FENIKSI : Raaction hostile quand je tends la main,

Je ne comprends pas , je retenterai demain,

Je ne suis quÂ’un babtou, sur ma peau a gaze partout,

On base tout les mots, vices, flaaux sur moi,

Tout y passe, toutÂ…

Si je respecte un minimum ma race, a tÂ’agresse

Je prends le risque que tu mÂ’terrasses.

Quand je respecte un maximum ta race tu mÂ’agresses !

Il ne me reste mame plus de race

Que veux-tu que je fasse ? ! ! ! !

TÂ’aimerais bien que jÂ’efface tout , comme par tour de magie

TÂ’imagines changer tout, du tout , Tout autour de toi, moi sans atout,

MaisÂ…

TÂ’auras pris la place du sale babtou ! !



REFRAIN/SAMUEL